[14 Chaitra] Un réveil brutal
2 participants
Divina Commedia :: Midgard :: Décharge
Page 1 sur 1
[14 Chaitra] Un réveil brutal
Cela faisait huit heures qu'Angélique s'était évanouie avant la réunion. Quand elle se réveilla elle se retrouva seule, couchée sur une pile de carton, dans une sorte de cul de sac. La douleur s'était estompée mais lui donnait un affreux mal de crâne. Sa jambe droite était aussi blessée et la faisait souffrir quand elle la pliait. Voulant chercher où elle se trouvait, elle saisi ce qui ressemblait le plus à un bâton et s'en servit pour sortir. La rue était presque déserte et en écoutant avec attention, Angélique semblait pouvoir entendre les rires, les cris, les disputes et les pleurs à travers chaque maisons comme si les murs n'étaient que fictifs. Mais elle pouvait les sentir, les toucher, ils était bien réels et la séparaient bien de l'autre côté. Elle pouvait tout savoir d'eux mais ils ne pouvaient pas la connaître.
Fatiguée par le trajet parcouru et la douleur occasionné, elle s'assit sur un porche, et tout en laissant sa jambe droite dressée, posa ses coudes sur ses genoux et sa tête sur ses mains. Pourquoi s'était-elle évanouie ? Pourquoi était-elle arrivée ici? Et surtout, que lui arrivait-il ? Ne comprenant rien de ce qui lui arrivait, elle laissa son chagrin l'emporter. Elle se sentais seule, faible, misérable et ne supportait pas l'idée d'avoir pu trahir sa promesse. Elle aurait voulu remonter le temps, devenir plus forte et pouvoir faire en sorte que tout se passe comme elle l'avait voulu. Mais c'était impossible et elle le savait bien.
"Un échec ne signifie pas que l'on est mauvais, mais que l'on est prêt à évoluer"
Cette phrase. Elle ne se souvenait pas l'avoir entendue mais elle sentait que quelqu'un lui avait dit. Mais elle ne pouvait s'en rappeler. Hélas sa mémoire avait été effacée et elle ne pouvait en savoir plus.
Soudain, tandis qu'elle se levait pour aller demander de l'aide, elle aperçu un homme traversant la rue voisine. Mais il était différent des autres. Elle pouvait le sentir. Poussée par une incroyable énergie, elle couru dans sa direction du mieux qu'elle pu. Quand elle l'atteignit, elle trébucha et se ratrapat à son épaule avant de dire.
"Excusez-moi, je suis blessée à la jambe. Pourriez-vous m'aider à me soigner ?"
[L'homme, c'est lulu]
Fatiguée par le trajet parcouru et la douleur occasionné, elle s'assit sur un porche, et tout en laissant sa jambe droite dressée, posa ses coudes sur ses genoux et sa tête sur ses mains. Pourquoi s'était-elle évanouie ? Pourquoi était-elle arrivée ici? Et surtout, que lui arrivait-il ? Ne comprenant rien de ce qui lui arrivait, elle laissa son chagrin l'emporter. Elle se sentais seule, faible, misérable et ne supportait pas l'idée d'avoir pu trahir sa promesse. Elle aurait voulu remonter le temps, devenir plus forte et pouvoir faire en sorte que tout se passe comme elle l'avait voulu. Mais c'était impossible et elle le savait bien.
"Un échec ne signifie pas que l'on est mauvais, mais que l'on est prêt à évoluer"
Cette phrase. Elle ne se souvenait pas l'avoir entendue mais elle sentait que quelqu'un lui avait dit. Mais elle ne pouvait s'en rappeler. Hélas sa mémoire avait été effacée et elle ne pouvait en savoir plus.
Soudain, tandis qu'elle se levait pour aller demander de l'aide, elle aperçu un homme traversant la rue voisine. Mais il était différent des autres. Elle pouvait le sentir. Poussée par une incroyable énergie, elle couru dans sa direction du mieux qu'elle pu. Quand elle l'atteignit, elle trébucha et se ratrapat à son épaule avant de dire.
"Excusez-moi, je suis blessée à la jambe. Pourriez-vous m'aider à me soigner ?"
[L'homme, c'est lulu]
Angélique la pure- Principauté
- Nombre de messages : 77
Date d'inscription : 27/07/2009
Re: [14 Chaitra] Un réveil brutal
Il ne fait pas très beau, comme toujours. A croire que le seul soleil par ici ne soit la crinière du démon, qui marche au travers des rues sans trop savoir où il va. Vêtu de son habituel blouson en cuir, fermé jusqu’en haut, sa caquette penchée sur ses yeux sombres, Lulu s’ennuie. Lulu s’ennuie, car il n’a rien à faire, rien à voir. Ou plutôt, pas l’envie. Un peu grognon, ce matin, le Lulu ? Non, pas du tout. Lassé, c’est tout. C’est le temps, le mauvais temps qui semble l’achever. A force de ne voir que du gris et de la pluie, il est devenu pareil à un nuage pesant. Fatigué d’avoir trop dormi (car oui, c’est possible), Lulu divague, se laisse aller aux pensées sombres avant qu’un sourire n’éclaire son visage. Un joli sourire, un peu forcé, mais franc.
Pourquoi donc se mettre dans cet état ? Il est vivant, a une bonne place, vit bien ! Il n’a qu’à regarder autour de lui pour voir la pauvreté s’étaler. Et il suffit d’une main pour le faire sursauter. C’est comme si d’un coup ses cheveux s’étaient dressés sur sa tête, alors qu’un glapissement lui avait échappé, faisant tomber la cigarette qu’il tenait du bout des lèvres. Au son de la voix féminine, le démon fait pivoter son cou et le haut de son buste pour voir qui donc a osé. Ah, s’il était un autre, certainement l’aurait-il tuée sur place, la blonde demoiselle qui se tenait difficilement debout. Un temps de réaction étant utile au cerveau de Lulu, le silence se fit sentir, avant que, confus, il n’ôte sa casquette sans bouger, pour qu’elle ne tombe pas, gentleman avant tout.
« Heu… »
Comment réagir dans une telle situation ? L’inconnue, bien que d’une beauté irréelle semblait fatiguée, et ses yeux rougis montraient bien qu’elle avait pleuré. La prenant en pitié, malgré le fait qu’il soit mécontent d’avoir été freiné dans son élan vers une humeur meilleure, Lulu s’efforça de se contenir, ne voyant pas l’utilité en ce moment même de s’énerver. On demandait son aide… Cela pouvait lui servir. Voyant toujours le côté pratique avant le côté humain, voici dans le cerveau de Lulu que dévalait toute sorte de possibilités. Si il l’aidait, elle aurait une dette. Bon, le blond ne savait pas encore qui elle était, mais tout est bon à prendre ! Mais d’abord fallait-elle qu’elle contracte une dette… Et là, c’était un peu plus difficile.
« Je veux bien mais… Comment ? »
C’était un soldat, pas une pharmacie ambulante. A part la porter vers le point d’eau le plus proche, il ne voyait pas comment faire.
Pourquoi donc se mettre dans cet état ? Il est vivant, a une bonne place, vit bien ! Il n’a qu’à regarder autour de lui pour voir la pauvreté s’étaler. Et il suffit d’une main pour le faire sursauter. C’est comme si d’un coup ses cheveux s’étaient dressés sur sa tête, alors qu’un glapissement lui avait échappé, faisant tomber la cigarette qu’il tenait du bout des lèvres. Au son de la voix féminine, le démon fait pivoter son cou et le haut de son buste pour voir qui donc a osé. Ah, s’il était un autre, certainement l’aurait-il tuée sur place, la blonde demoiselle qui se tenait difficilement debout. Un temps de réaction étant utile au cerveau de Lulu, le silence se fit sentir, avant que, confus, il n’ôte sa casquette sans bouger, pour qu’elle ne tombe pas, gentleman avant tout.
« Heu… »
Comment réagir dans une telle situation ? L’inconnue, bien que d’une beauté irréelle semblait fatiguée, et ses yeux rougis montraient bien qu’elle avait pleuré. La prenant en pitié, malgré le fait qu’il soit mécontent d’avoir été freiné dans son élan vers une humeur meilleure, Lulu s’efforça de se contenir, ne voyant pas l’utilité en ce moment même de s’énerver. On demandait son aide… Cela pouvait lui servir. Voyant toujours le côté pratique avant le côté humain, voici dans le cerveau de Lulu que dévalait toute sorte de possibilités. Si il l’aidait, elle aurait une dette. Bon, le blond ne savait pas encore qui elle était, mais tout est bon à prendre ! Mais d’abord fallait-elle qu’elle contracte une dette… Et là, c’était un peu plus difficile.
« Je veux bien mais… Comment ? »
C’était un soldat, pas une pharmacie ambulante. A part la porter vers le point d’eau le plus proche, il ne voyait pas comment faire.
Amador L. Steinmetz- Prince Démoniaque
- Nombre de messages : 18
Date d'inscription : 22/02/2009
Re: [14 Chaitra] Un réveil brutal
L'homme tourna la tête vers Angélique. Il semblait dérangé d'être interrompu. Mais contrairement à ce qu'elle pensait, son regard auparavant dur s'apaisa et il sembla s'apaiser. Il ne fis rien et un petit silence s'installa. Puis après avoir délicatement ôté se casquette comme s'il ne voulait qu'elle tombe, dit :
"Heu... "
Elle pouvait sentir qu'il hésitait et qu'il ne savait pas quoi faire. Après tout, elle lui avait foncé dessus sans chercher à savoir qui il était. Elle s'était imposée à lui sans prêter attention à ce qu'il pouvait faire ou ressentir. Mais pourtant elle sentais qu'elle devait le faire. Elle n'était pas douée pour les relations humaines mais quand elle rencontrait une personne dans le même cas qu'elle, elle le devinais tout de suite. Un vieux proverbe dit que ceux qui se ressembles s'assemblent. C'était pareil pour pour Angélique qui se voyait dans l'homme comme on se voit sans un miroir. Mais pouvait-il aussi le ressentir ? Car Angélique avait beau trouver de nombreuses personnes comme elle, elle n'avait jamais trouvé de preuve de réciprocité. l'homme dit alors :
"Je veux bien mais… Comment ?"
Un autre problème venait de surgir. Il ne pouvait pas l'aider sur place. Elle aurait du y penser, réfléchir un peu plus mais encore pour la même raison elle avait fonça vers un inconnu sans chercher à savoir s'il pouvait l'aider. Elle réfléchit un moment, puis dit :
"J'ai une maison dans la décharge, à quelques mètres d'ici. Si vous me portez sur votre dos, nous pourrions facilement y arriver et je pourrais me soigner. Je vous servirai de guide."
"Heu... "
Elle pouvait sentir qu'il hésitait et qu'il ne savait pas quoi faire. Après tout, elle lui avait foncé dessus sans chercher à savoir qui il était. Elle s'était imposée à lui sans prêter attention à ce qu'il pouvait faire ou ressentir. Mais pourtant elle sentais qu'elle devait le faire. Elle n'était pas douée pour les relations humaines mais quand elle rencontrait une personne dans le même cas qu'elle, elle le devinais tout de suite. Un vieux proverbe dit que ceux qui se ressembles s'assemblent. C'était pareil pour pour Angélique qui se voyait dans l'homme comme on se voit sans un miroir. Mais pouvait-il aussi le ressentir ? Car Angélique avait beau trouver de nombreuses personnes comme elle, elle n'avait jamais trouvé de preuve de réciprocité. l'homme dit alors :
"Je veux bien mais… Comment ?"
Un autre problème venait de surgir. Il ne pouvait pas l'aider sur place. Elle aurait du y penser, réfléchir un peu plus mais encore pour la même raison elle avait fonça vers un inconnu sans chercher à savoir s'il pouvait l'aider. Elle réfléchit un moment, puis dit :
"J'ai une maison dans la décharge, à quelques mètres d'ici. Si vous me portez sur votre dos, nous pourrions facilement y arriver et je pourrais me soigner. Je vous servirai de guide."
Angélique la pure- Principauté
- Nombre de messages : 77
Date d'inscription : 27/07/2009
Re: [14 Chaitra] Un réveil brutal
Une maison à la décharge… Elle habitait donc ici, avec son physique d’ange ? Entouré de tous ces affreux, ces maladifs de cette terre abandonnée ? Non, le fait qu’elle soit son ennemie n’effleura pas même une seconde les pensées de Lulu. Il se sentait comme reposé, à ses côtés, et le simple contact de sa main chaude sur son épaule suffisait à happer toute sa colère. Elle était lucide malgré sa blessure, savait quoi faire. Ce qu’il fallait au démon. Un guide, toujours incapable d’agir par lui-même, préférant toujours suivre les ordres des autres. Aider de temps en temps ne lui ferait pas de mal, tant que cela n’avait aucune répercussion sur son camp. Il y a des anges parmi les démons, et des démons parmi les anges. Cessant de se perdre dans les beaux yeux de l’inconnue, Lulu se met alors à genoux, présentant son dos à la blonde beauté, toujours son képi à la main. On se découvre devant une dame, voyons.
« Si cela peut vous aider… Et si ce n’est pas trop loin. »
Voilà un cheval bien peu confortable. Son manteau, trempé par la brume et refroidi par le temps ne serait pas confortable, et ses bras forts risquaient de blesser ses jambes si jamais il serrait trop, déjà que l’une d’elle était en mauvais état, vu comment elle se tenait difficilement debout. Rougissant à l’idée qu’une femme allait se reposer sur lui, le déjà peu bavard Lulu en devint muet. Plus habitué à porter des armes ou aux étreintes masculines après une bagarre qu’au contact d’une femme qui l’enserrerait de ses mains… Ah, cessons de penser à cela !
« Vous pouvez toujours refuser… »
Plus pour son bien que pour le sien, Lulu se rendait compte enfin dans quelle galère il s’embarquait. Bon sang ! Un prince s’abaissait aux pieds d’une femme, d’une inconnue (qu’importe sa superbe crinière et ses jolis yeux) qui lui demandait de l’aide ! Sens aux aguets, prêt à se cacher si un démon surgissait, Lulu n’avait pas du tout envie qu’il devienne du jour au lendemain le démon aux bonnes mœurs qu’il ne se voyait pas incarner au grand jour, surtout pas après le rôle qu’on lui avait confié. Lulu, tu es trop serviable pour être un démon digne de ce nom.
« Si cela peut vous aider… Et si ce n’est pas trop loin. »
Voilà un cheval bien peu confortable. Son manteau, trempé par la brume et refroidi par le temps ne serait pas confortable, et ses bras forts risquaient de blesser ses jambes si jamais il serrait trop, déjà que l’une d’elle était en mauvais état, vu comment elle se tenait difficilement debout. Rougissant à l’idée qu’une femme allait se reposer sur lui, le déjà peu bavard Lulu en devint muet. Plus habitué à porter des armes ou aux étreintes masculines après une bagarre qu’au contact d’une femme qui l’enserrerait de ses mains… Ah, cessons de penser à cela !
« Vous pouvez toujours refuser… »
Plus pour son bien que pour le sien, Lulu se rendait compte enfin dans quelle galère il s’embarquait. Bon sang ! Un prince s’abaissait aux pieds d’une femme, d’une inconnue (qu’importe sa superbe crinière et ses jolis yeux) qui lui demandait de l’aide ! Sens aux aguets, prêt à se cacher si un démon surgissait, Lulu n’avait pas du tout envie qu’il devienne du jour au lendemain le démon aux bonnes mœurs qu’il ne se voyait pas incarner au grand jour, surtout pas après le rôle qu’on lui avait confié. Lulu, tu es trop serviable pour être un démon digne de ce nom.
Amador L. Steinmetz- Prince Démoniaque
- Nombre de messages : 18
Date d'inscription : 22/02/2009
Re: [14 Chaitra] Un réveil brutal
L'homme fronça les sourcils, comme surpris de savoir qu'elle habitait là, dans cet horrible endroit plein de maladifs, de vaurien et de vieillards. Mais ce lieu n'était justement pas horrible aux yeux d'Angélique. Elle le trouvait même mieux que certains lieux du paradis, car elle s'y sentait plus chez elle. Elle adorait Melpomene, et le palais de lumière, où sarah l'accueillait toujours aussi chaleureusement. Elle aimait beaucoup ses thé d'eau de rosée et ses biscuit nuageux, dont elle aurait pu vivre toute sa vie, ou plutôt toute sa seconde vie, puisqu'Angélique était déjà mort une première fois. Mais elle ne voulait pas dépendre toute sa vie de quelqu'un, elle voulais pourvoir voler de ses propres ailes, vivre indépendamment des autres. Et c'était pour cela qu'elle avait choisi d'y vivre. Elle pouvait à tout instant aider les personnes dans le besoin sans devoir passer sans arrêt par l'arbre Yggdrasil. Mais elle n'avait aidé qu'une personne, Florimelle, et ce n'était qu'une illusion. L'homme dit alors :
"Si cela peut vous aider… Et si ce n’est pas trop loin."
Non, ce n'était pas trop loin, il y avait quelques rues à traverser et c'était fini. Elle s'apprêtait quand l'homme dit :
"Vous pouvez toujours refuser…"
Elle rit de bon cœur. Si quelqu'un pouvait choisir de refuser, c'était bien lui, pas elle. Elle dit :
"Oui, je pourrai refuser, mais comme vous avez accepté de me porter, moi, dont vous ignorez tout et qui par sa blessure ne peux que vous embêter, j'aurai vraiment honte de moi si refusait votre offre"
Puis elle grimpa sur son dos et prononça dans son oreille droite :
"Pour aller chez moi, allez jusqu'à la fontaine avec la statue du chérubin qui pleure et rendez-vous vers le nord. Vous reconnaîtrez facilement la maison : Le portail est orné d'une licorne.
"Si cela peut vous aider… Et si ce n’est pas trop loin."
Non, ce n'était pas trop loin, il y avait quelques rues à traverser et c'était fini. Elle s'apprêtait quand l'homme dit :
"Vous pouvez toujours refuser…"
Elle rit de bon cœur. Si quelqu'un pouvait choisir de refuser, c'était bien lui, pas elle. Elle dit :
"Oui, je pourrai refuser, mais comme vous avez accepté de me porter, moi, dont vous ignorez tout et qui par sa blessure ne peux que vous embêter, j'aurai vraiment honte de moi si refusait votre offre"
Puis elle grimpa sur son dos et prononça dans son oreille droite :
"Pour aller chez moi, allez jusqu'à la fontaine avec la statue du chérubin qui pleure et rendez-vous vers le nord. Vous reconnaîtrez facilement la maison : Le portail est orné d'une licorne.
Angélique la pure- Principauté
- Nombre de messages : 77
Date d'inscription : 27/07/2009
Divina Commedia :: Midgard :: Décharge
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum